De retour à Paris, il intègre la « bande à Breton » et participe un temps à l'émulation surréaliste.
Bien vite, les femmes le rattrapent et s'invitent à nouveau sur ses toiles, célèbres ou anonymes.
Dénué de tout snobisme, il n'en sera pas moins mondain, professionnellement, esthétiquement, qualitativement, comme le fut différemment de lui Jean-Gabriel Domergue.
Dans son atelier de la rue Notre-Dame-des-Champs, autrefois propriété d'une Sarah Bernhardt, moins célèbre pour son activité de sculpteur qu'elle y exerça avec bonheur, que pour ses prestations toutes aussi heureuses de comédienne, il perfectionne la femme élégante, cherchant « la vérité profonde de chaque être toujours cachée sous le masque ».
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Professeur Arthur Vernes
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